mardi 13 janvier 2009

40° d'amplitude thermique

Mon séjour vient de subir une petite interruption dut à un problème d'organisation comme seul les administrations en ont le secret. J'ai donc dut mettre les pieds dans notre froide capitale à la fin de ce mois de décembre afin d'aller emmarger lors d'une réunion à la nécessite toute relative. J'y aurais tout de même appris que je suis une cible pour la CIA, le Mossad et tout un tas d'autres organisations toutes aussi sympathiques qui ont pour ultime objectif de dérober les informations confidentiels que je possèdes. Heureusement que nous avons eue droit à la distributions de Walter PPK à la sortie. J'ai ensuite profité des quelques jours libre qu'il me restait pour visiter les miens et finir l'année en bonne compagnie.

Dépaysant

Enfin me voici à nouveau à Mumbai, j'ai d'ailleurs plus l'impression d'y revenir que de repartir. Cette interruption imprévue m'a surpris moi qui penser rester ici au moins 1 ans avant tout retour en France. C'est là qu'une certaine faculté a prendre les choses comme elles viennent s'avère utile et même nécessaire. Heureusement je suis assez doué dans le laisser aller ce qui vaut mieux dans ce pays où espérer avoir un parfait contrôle de ce qu'il se passe est utopique. Ici je suis bien loin des droits rails de nos organisations TGV, Je ne suis même pas sur que terre à terre soit une qualité; mieux vaut savoir nager en milieu mouvants. Là ou tenter d'aller contre le flux signifie échec assurément, il faut se laisser balloter, jusqu'à l'immersion parfois pour ressortir surfant sur la vague l'instant suivant.

pollution et cerf-volants

Je peux comprendre ceux pour qui cela rend l'Inde insupportable. Se lever tôt, courir après son avion, s'embrouiller avec le chauffeur de taxi, tout pour une mauvaise journée et puis, et puis le soir ce chauffeur de rickshaw qui me fait un prix et me revoilà à flot, une bonne bière et je suis sur la vague pour une excellente soirée. Venez, laisser les choses aller sans vous braquer et vous apprécierez.